20 août 2013
Blues
Et ton corps tordu de mille maux glisse plus profond encore dans la souffrance, sans l’espoir d’une accalmie. L’esprit puise quelque soulagement à l’écoute du blues de la Nouvelle Orléans et ta main sur la poitrine, comme mille autres avant toi, frappe le rythme d’une vie ployant sous une servitude. Alors, le blues accueille ta note sur ses rivages. Et la métamorphose en cri de liberté… Un vent léger apaise tes tensions. Tu respires enfin !
http://www.youtube.com/watch?v=nGfvEZ3-Iu0
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